Seuls 7% des patients ont déclaré être vaccinés contre le HPV. 

Près de 20 % des patients ne savaient pas que le cancer du col de l'utérus est causé par le HPV, 

La moitié des patients ignoraient que l'infection par le HPV est plus fréquente chez les patients immunodéprimés. 

Le quart des patients ignoraient l'existence d'un vaccin efficace. 

Environ 10 % des patients pensaient à tort que les immunodépressions contre-indiquaient la vaccination contre le papillomavirus. 

Un tiers des patients ignoraient que la vaccination contre le papillomavirus pouvait être proposée chez les jeunes adultes. 

Bien que le vaccin anti-HPV soit plus efficace lorsqu'il est administré avant toute exposition au HPV, 50 % des patients accepteraient une vaccination de rattrapage, tandis que 31 % ont exprimé une hésitation à l'égard du vaccin. 

44 % des patientes ont exprimé des inquiétudes quant aux effets secondaires potentiels de la vaccination. 

Enfin, 66% des patients seraient plus enclins à se faire vacciner si le conseil venait d'un rhumatologue ou un interniste que s'il venait d'un médecin généraliste 43%.